• A partir de ce deuxième article de la rubrique consacrée à la nouvelle génération des crooners, ne soyez pas étonnés. Il existe en effet,  comme je vous l'ai déjà expliqué également des femmes crooners (même si le phénomène est bien moins connus du grand public) et cela depuis l'aube de ce style musical.

     

     

    Découvrons quelques crooners :

    • Brenna Whitaker - Black And Gold
    • Tom Wopat -  Ruby
    • Matthieu Boré - I Wanna Be Your Man

     

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     


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  • Interview du crooner, chanteur, musicien
    et acteur Guy Marchand dans Crooners and Friends

    Interview de Guy Marchand

    Crooner Radio - Le meilleur de la musique haut de gamme

    https://www.croonerradio.fr/

     Cliquez sur le lien ci-dessus pour écouter l'interview en 5 épisodes (avec quelques extraits de ses titres) proposée par Jean-Batiste TUZET, animateur, producteur, auteur, fondateur et directeur des programmes de Crooner Radio.

    Cette interview a été réalisée en 2020 au moment de la sortie de son nouvel album "Né à Belleville".
    C'est un article que j'avais publié sur Overblog avant de découvrir Eklablog.

     


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    VONDA SHEPARD

    VONDA SHEPARD

     

     


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  • Fred Astaire aurait pu être un aristocrate dont le hobby serait de danser et chanter ! Il était d'une incroyable élégance vestimentaire, chorégraphique et humaine. A dix ans, il portait déjà un haut-de-forme et un œillet à la boutonnière pour danser !

    Frederick Austerlitz est né en 1899 dans le Nebraska. Tout petits, sa soeur Adèle et lui ont le désir de danser. Leurs parents leur permettront de prendre des cours très tôt et déjà, en 1915, ils figurent dans un film muet de Mary Pickford. 

     

      

    Fred Astaire (1899 - 1987)

    Avec sa soeur Adèle

     

    C'est au début des années 30 que Fred ira tenter sa chance à Hollywood. Il y gagnera son pari avec Ginger Rogers dans une série de comédies musicales extraordinaires. Les décors sont magnifiques, les chorégraphies impeccables pour divertir le peuple américain victime de la crise et désireux de rêver dans un monde élégant, cossu et raffiné ! Ce que fait Fred Astaire dans ses comédies musicales est à l'image du travail du crooner : le numéro est répété mille fois, mais à l'exécution, on ne s'en aperçoit pas, tout semble évident, comme si tout un chacun pouvait chanter et danser à leur place ! Quel plaisir de revoir "La Joyeuse Divorcée" (The Gay Divorcée, 1934), "Roberta" (Roberta, 1935), "Le Danseur du dessus" (Top Hat, 1935), "Suivons la flotte" (Follow the Fleet, 1936), "Sur les ailes de la danse" (Swing Time, 1936), "L'entreprenant M. Petroff" (Shall We Dance ?, 1937), "Amanda" (Carefree, 1938) et "La Grande Farandole" (The Story of Vernon and Irene Castle, 1939). Pendant toutes ces années, les films Astaire-Rogers firent affluer l'argent dans les caisses de la RKO. Fred Astaire créait lui-même les numéros de leurs films et passait des semaines entières à mettre au point les figures, les répétant inlassablement et les faisant répéter à Ginger Rogers et à tous ceux qui devaient apparaître dans le film pour atteindre la perfection.

    Fred Astaire (1899 - 1987)

     

    "Top Hat" (1935)

    "Roberta" (1935)

     Fred Astaire (1899 - 1987)

     

    Par la suite, Fred resté seul, put alors choisir d'autres partenaires et envisager de nouvelles possibilités de travail. Eleanor Powell dans "Broadway qui danse" (Broadway Melody of 1940), Rita Hayworth dans "L'amour vient en dansant" (You'll Never Get Rich, 1941) et dans "O toi, ma charmante" (You Were Never Lovelier, 1942) et bien d'autres encore jusque fin des années 50. Puis, les années passant, Fred Astaire eut de moins en moins d'occasions d'apparaître à l'écran : l'âge d'or du musical avait vécu.

     

     

    "Broadway Melody of 1940" avec Eleanor Powell

    "The Band Wagon" (1953) avec Cyd Charisse

     

    La télévision lui consacra cependant quelques séries où il put montrer qu'il avait conservé intact son brio de danseur; à septante-six ans, il exécuta encore ses numéros les plus célèbres dans le film "Hollywood, Hollywood" (That's Entertainment, Part 2, 1975), mais il démontra surtout , qu'en dehors de la danse, c'était également un excellent comédien entre autres dans le film d'Yves Boisset, "Un Taxi mauve" en 1977. 

     

    Fred Astaire (71 ans) à la cérémonie des Oscars en 1970

     

    Parallèlement au cinéma, Fred Astaire se consacrera à quelques enregistrements de ses chansons préférées signées Cole Porter, Irvin Berlin ou Jerome Kern. Il enregistrera en 1952 un album intitulé "The Astaire Story", accompagné par Oscar Peterson au piano. Il réenregistrera également ses mêmes chansons avec un grand orchestre sur des arrangements signés Marty Paich ("Fred Astaire Now").

     

    Fred Astaire (1899 - 1987)

     

    Quelques uns de ses plus gros succès

    - Cheek  to Cheek -

    - Puttin' on the Ritz -

    - Steppin' Out With My Baby -

    - 'S Wonderful - 

    - The Way You Look Tonight - 

    - The Carioca -

    - I Won't Dance -

    - Slap That Bass -

    - A Fine Romance -

    - Night and Day -


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  • Aux Etats-Unis, la polyvalence est une qualité. Comme nous l’avons vu au début de cette chronique des crooners, les chanteurs qui commencent à avoir du succès en radio et sur scène, font rapidement du cinéma. A l’inverse, les comédiens ou danseurs à succès enregistrent quelques albums de chansons. Hollywood qui prend aussi de la grandeur dans ces années 30, devient une machine créatrice de vedettariat et le phénomène des acteurs-crooners perdure jusqu'à nos jours.

     

     

    Au fur et à mesure de l'évolution de ce blog, vous découvrirez donc quelques comédiens qui se distinguent dans le répertoire crooner, en commençant par Fred Astaire (Le plus élégant !), en passant par les plus inattendus tels que Robert Mitchum (héros de westerns) ou Anthony Perkins ("Psychose"), mais également par des stars de la télévision comme Richard Chamberlain ("Les Oiseaux se cachent pour mourir", "Shogun") jusqu'au crooner de l'ère Twitter : Justin Timberlake.

     

    Comme le démontre dans ce clip Leonardo DiCaprio,
    les crooners inspirent toujours le cinéma encore aujourd'hui,
    avec plus ou moins de talent comme vous pouvez le constater...

     


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